L’année 2023 restera dans les mémoires comme l’année dans laquelle voir cette pandémie de COVID-19 a cessé d’être une menace sanitaire et nous a fait revenir à la normalité. Les trois dernières années passées dans lesquelles nous avons vu les problèmes liés au chômage des groupes les plus vulnérables dans notre société, soumis dans la ville et par conséquent liés à nos élites qui contrôlent toutes ces classes sociales. Les relations de l’inégalité du pouvoir, dans lequel ceux qui sont avantagés ont des difficultés à reconnaître cette situation privilégiée oú ils se trouvent, tandis que les personnes dans une situation désavantagée et même en situation de domination, sont la plupart des personnes qui ont émigré du Global Sud, en état dans une condition administrative irrégulière.

Cette situation avait connu l’inflation du marché en se servant comme prétexte pour couvrir davantage les classes populaires, une augmentation des prix exorbitants des nourritures et des produits de première nécessité, rend la vie plus difficile à tous, mais principalement la vie des groupes mentionnés à la page antérieure. Actuellement, l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a créé une nouveau terme, hyperinflation, qui vient du terme Inflation galopante que nous avons vécue fut causée par la désir des grands hommes d’affaires ou pour le dire les businessmans. C’est-à-dire que pendant que les agents capitalistes privilégiés de toujours profitent continuellement dans un plan économique sans en tenir compte la vie des autres ,pour conserver constamment cette hiérarchie sociale tout en consolidant la relation d’inégalité du pouvoir, et bien sûr, insoutenable avec la planète.

Il est anormal que malgré le besoin dérivé, de la pandémie de reconsidérer et de restaurer le modèle économique actuel, malgré la nécessité de mettre en place, d’aider en plaçant les personnes et les soins au centre, on remarque malheureusement des petites victoires remportées en dans ce aspect, grâce aux mouvements sociaux économies alternatives et l’auto-organisation des migrants, sont aujourd’hui de plus en plus en danger en raison de la montée des discours de haine, reflétée dans les médias, le pouvoir politique et la montée de l’extrême droite, entre autres.

Des discours montant directement vers les migrants et les personnes victime du racisme à cause de sa couleur de peau sur le territoire, de les criminaliser et de éterniser les processus de déshumanisation, cela se indique le NON à l’accès aux droits fondamentaux, en ne mettant exercer le droit au vote, dans des frontières et des politiques d’accueil pour

différenciées selon l’origine, même dans l’accès difficile au logement et le droits à l’éducation, en particulier avec les mineurs et les jeunes migrants, qui, l’objet de quelque groupe de perceptions ou de comportements racistes, et bien sûr dans la difficulté à trouver un travail digne de nom, dans une bonne condition.

Face à ce contexte, restent de même très importantes l’auto-organisation et l’autonomisation de diverses communautés, en particulier les jeunes qui s’inquiètent de la façon dont se développe économiquement, personnellement et le type de monde dans lequel ils vivront, où ils présente un avenir de plus en plus danger ou d’anormalité, qui observe à quel point la méritocratie brille pour son absence.

Dans ce sens, nous restons décidé à renforcer cet espace de se retrouver , de reconnaître et avoir des réseaux qui permettent de profiter du potentiel transformation alternative aux diverses initiatives socio-économiques faire accéder, promouvoir des personnes immigré et racialisé. C’est cette force d’organisation, de transformation et de reproduction de la vie, qui vit dans des groupes et des projets, ce qui nous pousse depuis de Cercle de Migrations et d’économie antiraciste de Coòpolis, pour convoquer la Quatrième édition du foire de l’économie immigrés et Diverses.

Dans cette édition, la jeunesse sera le protagoniste de la construction de nouveaux horizons coopératives, au-delà de la logique capitaliste, et malgré les restrictions d’un contexte marqué par des inégalités structurelles en termes d’origines diverses et d’être des personnes migré ou racialisé.

La participation dans des initiatives communautaires et collectives permet la possibilité de construire des espaces de soutien mutuel, où ils font partie, et rendre visible, de faire ou répondre à travers l’action, aux multiples barrières qui peuvent exister autour de l’accès aux emplois des salaires dignes de nom et des environnements de travail plus larges.

Compte tenu du scénario aussi complexe et des défis qui impliquent, nous souhaitons élargir l’invitation aux centaines de projets qui se battent chaque jour pour innover les choses. Collectifs, migrants et personnes diverses ayant des initiatives/entreprises/projets économiques (avec ou sans forme juridique). La période de préinscription des projets intéressés à participer à La Foire se tiendra du 17 juillet au 11 septembre, puis le processus de sélection et confirmation respectifs des projets sélectionnés. La Foire aura lieu le 30 septembre prochain à la Llotja de Sant Antoni.

Entre nous tous nous rendons cela possible, nous vous attendons!